La mode de la dévalorisation des femmes – Valoriser ce qui compte

"J’ai 22 ans et j’habite à Natal, avec ma mère, depuis quelques années. J’ai vécu avec mon arrière grand-mère jusqu'à l’âge de 11 ans. Je suis ouvrière depuis mes 16 ans. J’ai habité avec mon père durant 5 ans et j’ai voyagé partout dans le Brésil. Ce n’était pas facile, car moi et ma belle-mère n’étions pas amies.

Mon père a été ouvrier pendant 5 ans. Et nous avons découvert que pendant tout ce temps là, il prenait des drogues, il buvait et il trahissait ma belle-mère.  Ce fut un “choc” pour notre famille. Mon père a quitté la maison, donc, j’ai décidé de retourner vivre avec ma mère, avec qui j’avais vécu jusqu’à l’âge de 1 ans et 9 mois. L’adaptation fut difficile. Car je n’ai jamais eu une bonne qualité de vie; cependant, j’ai toujours eu de la nourriture et une belle maison. Mon père a toujours été comme ça: il portait des chaussures chères, et nous les moins chères; il portait des vêtements chers, et nous, lorsque nous recevions quelque chose, c'était le moins cher.

Mon père, en plus de ne rien me donner, arrivait à m’enlever toute la joie que j’avais, à cause de son mépris. Il a toujours été ainsi; LUI, LUI, LUI. Et il est ainsi jusqu’aujourd’hui!!! J’étais triste de ne pas avoir ma mère à mes cotés, mais j'étais encore plus triste de ne pas avoir un père, alors que tout le monde pensait que j’en avais un.

Même à l’église, et même en étant ouvrière, j’étais triste. J’essayais tout simplement de comprendre ce qui se passait dans la tête de mon père. Jusqu’au jour où j’ai rencontré mon Père, mon Papa, le Seigneur Jésus (21/04/2011).

Je ne me suis JAMAIS sentie aussi aimée, aussi importante… Et protégée! Quelle joie! Certainement beaucoup plus grande que celle d’un enfant chouchouté. Un Père parfait. Sa tendresse et Son soin sont si merveilleux! Il est juste, sincère et sensible à touts mes besoins. Il prend soin de Ses enfants comme aucun autre père dans ce monde ne le ferait, malgré toute leur attention.

Voici ce dont nous avons besoin: désirer plus que tout être appelées Ses enfants. Imaginez! Pourquoi ai-je mis tellement de temps à comprendre cela? Il a toujours été si près! Un Père qui ne nous donne pas seulement ce dont nous avons besoin, mais qui a donné Sa vie.

Ça oui, c’est l’amour. Pourquoi soufrerais-je ou serais-je triste? Pourquoi devrais-je m’inquiéter de payer mes études, alors que mon “père” peut le faire pour moi? Non, mille fois non! Ce que je veux, c’est remercier mon Papa de m’avoir donnée la santé, l’intelligente et le courage, et surtout d’être toujours avec moi.

Un jour, je regarderai en arrière et je verrai tous les soins du Seigneur Jésus avec moi: les bénédictions acquises, ma formation; car après tout, je suis une fille de Dieu.
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La dévalorisation des femmes – "Se connaitre"


J’avais déjà le sceau du Saint-Esprit lorsque j’ai vécu ce que j’ai écrit dans le blog d’hier. Il était en moi, mais Il était assujetti à mon esprit, puisque à cause du manque de maturité de ma foi à l’époque, j’agissais plusieurs fois dirigée par les émotions, en me basant sur ce que mes yeux voyaient. Voici l’un de nos défauts humains… Nous avons du mal à croire sans voir, sans toucher, sans avoir une preuve concrète de ce que la Parole dit.

Vous allez à l’église et la Parole de Dieu, prêchée sur l’Autel, vous parle directement, mais lorsque vous sortez, viennent ces pensées anciennes que vous êtes ceci et cela, ou des commentaires futiles que vous avez le déplaisir d’entendre à votre sujet, de la façon dont vous vous habillez ou pourquoi êtes vous encore célibataire à cet âge là, et savez-vous ce qui arrive? Vous oubliez la Parole de Dieu et vous donnez de la place aux autres paroles qui sont venues après, des paroles qui n’ont pas une source fiable, au contraire, est-ce que quelqu’un dans ce monde serait plus fiable que Dieu Lui-même?

Malgré le fait de le savoir, beaucoup ne suivent pas ce raisonnement. Ils vivent anxieux, pleurant dans tous les coins, se considérant faibles, alors que Dieu nous a donné des armes pour prendre des forces de nos faiblesses: le Saint-Esprit, par exemple, est la plus grande de ces armes. Il est l’Esprit de Dieu en nous. Pouvez-vous imaginer cela? Avoir l’Esprit de Dieu, le Tout Puissant, le Magnifique, le Créateur des cieux et de la terre, le Roi, l’Omnipotent et l’Omniscient? Je crois que non, car si vous aviez vraiment cette conscience, vous n’alliez pas vous blâmer devant le miroir.

C’est ainsi que j’ai commencé à changer. J’ai commencé à laisser cet Esprit, à travers la Parole de Dieu, me modeler. Si Sa Parole dit que je suis forte, c’est parce que je le suis, peu importe ce que je pense à mon sujet. Si Elle dit que je suis héritière du Père (Romains 8.17), fille du Roi (Psaume 82.6), choisi à doigt (Esaïe 45.4), la prunelle de Son œil (Deutéronome 32.10), un cadeau de Dieu pour mon mari (Proverbes 18.22), la plus belle de toutes les femmes (Cantiques 6.1)… Pourquoi dois-je me dévaloriser? Pourquoi dois-je me trouver laide, faible, bête, petite, incapable, enfin, tout ce qui est négatif et que normalement nous pensons de nous mêmes?

Et, c’est à partir de là que vous vous commencez à comprendre que vous n’êtes pas n’importe qui, ni un visage de plus parmi la multitude. Si vous croyez dans la Parole de Dieu de tout votre cœur, de toute votre âme et de toutes vos forces, et si vous permettez que le Saint-Esprit coule à travers vous, rien dans ce monde ne pourra vous dévaloriser!

Donc, les commentaires négatifs et les critiques peuvent venir, car de la même façon qu’ils viennent, ils repartent, car ils ne trouveront plus d’espace en vous, puisque là où étaient les insécurités, maintenant il y a la conscience de la personne que vous êtes. C’est pour cette raison que je dis toujours: “Le jour où j’ai rencontré le Seigneur Jésus fut le jour où je me suis trouvée moi-même.”

Et je dis plus, celui qui vous critique, critique Dieu Lui-même, et là vous savez déjà, n’est-ce pas? “C'est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant.” Hébreux 10:31

La dévalorisation des femmes – "Comment être comblée?"

L’être humain a beaucoup de nécessités. Bien sûr que nous avons besoin de santé, de nourriture, d’eau, d’un toit pour habiter, d’un travail, des amitiés, d’une famille, d’amour, de tendresse, d’attention, de valeur, etc.… Nous avons toutes le droit à cela et à beaucoup plus – la question est que, pour être comblée, il ne suffit pas d’avoir tout cela… Voici la racine de tellement de malheur.

Plusieurs personnes ont ces choses, et continuent amères et frustrées. Cela veut dire que ces “nécessités” ne peuvent pas rendre quelqu’un vraiment heureux.

Le Seigneur Jésus, le Créateur du vrai bonheur, a dit le suivant:
“L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu.” Matthieu 4:4

Plusieurs personnes m’écrivent quotidiennement. Les unes pour demander une orientation, d’autres pour me remercier, et d’autres pour se plaindre. J’apprécie la confiance de toutes envers moi, même de celles qui parlent de leurs frustrations intérieures et finissent par faire des commentaires méchants et qui m’attaquent. Si elles m’écrivent, c’est parce que d’une certaine façon, je suis arrivée jusqu’à elles et, juste cela, me donne beaucoup de satisfaction. Mais ce que peu reconnaissent, c’est la source de tout ce qu’elles lisent ici et dans mes livres.

Je les comprends, puisque moi même, il y a longtemps, j’ai été naïve au sujet de la Parole de Dieu. Je la lisais quotidiennement, et Elle me parlait toujours, mais il y avait des choses que je ne comprenais vraiment pas, et pour cette raison, j’ai vécu frustrée avec moi-même à plusieurs époques de ma vie. Je savais ce que la Parole de Dieu disait, mais parfois, savoir et reconnaitre sont totalement opposés entre eux. Ce fut à ces époques que j’ai beaucoup pleuré, que je gardais des journaux intimes déprimants, que je me plaignais de mon mari, de mon fils, de mon apparence, des déceptions avec mes amies, enfin… J’étais un enfant spirituel. Je ne savais pas utiliser la foi.

Je me souviens des fois où je priais Dieu et en même temps j’avais pitié de moi-même… Ah, quelle foi émotive, ridicule! Aujourd’hui, lorsque je m’en souviens, je vois ô combien j’ai changé et mûri. Je semble même plus jeune et plus belle!

Et tout cela parce que j’ai donné de la place à la Parole de Dieu. Je L’ai laissée me modeler et me combler, et Elle, à Son tour, m’a comblée dans tous les domaines. L’intéressant, c’est que j’avais déjà tout ce qui est mentionné dans la liste là dessus (amour, famille, tendresse, attention, un toit, santé, etc.). En d’autres termes… Cela ne sert à rien d’avoir tout, si la Parole de Dieu ne fait pas la différence dans votre vie.

A travers la Parole de Dieu, l’être humain acquiert la sagesse, la confiance et tout ce dont il a besoin pour être comblé. Là oui… Il pourra se valoriser, selon ce qu’a été planifié au départ, lors de sa création.

Alors, comment L’utiliser? Revenez demain et nous continuerons ce sujet.

La mode de la dévalorisation des femmes – "Je dois avoir"

 (Suite du blog d’hier…)

“Qui peut trouver une femme vertueuse? Elle a bien plus de valeur que les perles.” Proverbes 31:10

 Il y a des femmes qui ne supportent plus de lire ou d’entendre parler de ce verset, sauf que si le nombre de fois où nous l’avons lu ou en avons entendu parler marchait, d’accord; le problème c’est que la plupart des femmes n’a aucune notion de ce que ce verset veut réellement dire!

Dis donc, si moi qui ait écrit un livre sur ce chapitre de Proverbes, je peux écouter Dieu me parler à travers lui, c’est parce qu’il y a encore beaucoup de secrets là dedans, et celle qui veut que sa valeur excède celle des perles, a besoin de porter son attention là-dessus et méditer. Voyez que la valeur de cette femme n’est pas semblable aux perles, en d’autres mots, elle n’a rien avoir avec ce qu’elle possède physiquement.

Combien de femmes ne se valorisent pas parce qu’elles n’ont pas ceci ou cela entre leurs mains… Cela est très triste, car notre valeur ne viendra jamais de l’extérieur. Bien que toutes sachent cela dans la théorie, dans la pratique c’est comme si elles ne savaient pas ce que cela veut dire.

Complétez la phrase suivante et répondez à cette question dans les commentaires:


Pourquoi dois-je avoir _________ pour être heureuse?

Je doute que vous ayez une raison solide pour la réponse que votre cœur a donné à cette question, mais je vais attendre vos commentaires. Demain, j’écrirai plus à ce sujet.

La mode de la dévalorisation des femmes – Introduction


Cela ne sert à rien d’avoir tellement d’amies sur Facebook et autant de commentaires sur vos photos si en fait, vous continuez seule, mélancolique et triste la plupart du temps. Bien sûr, personne ne voit cela, aux yeux de tous vous êtes une jeune fille sympathique, pleine de vie, pleine de conversations intéressantes, et vous avez même une maturité exemplaire pour votre âge… Tous vous admirent, sauf que vous n’arrivez même pas à vous regarder en face dans le miroir. On dirait que personne ne s’inquiète avec vous, que vous n’avez pas de vraies amies et que ni même l’amour est présent dans votre vie. A un certain moment de la journée, vous vous souvenez des décisions erronées que vous avez prises dans le passé et qui vous tourmentent. La nuit est longue et lorsque le matin arrive, vous voudriez ne plus jamais vous réveiller.


Ah, si vous saviez votre valeur… Seules celles qui ne connaissent pas leur valeur ont une vie si amère. Je vois des jeunes femmes comme ça tous les jours dans les rues, dans les croisements, aux arrêts de bus, dans un cercle d’amies, avec leur petit-ami, en train de lire… Enfin, de nos jours, se dévaloriser, c’est une mode.


Comme si le nombre d’amies que nous avons révélait notre valeur, et comme si le masque que nous portons était plus important que notre vraie identité.


Nous allons dédier cette semaine pour écrire au sujet de notre valeur féminine. Si vous connaissez une amie qui suit cette maudite mode de la dévalorisation de la femme, invitez-la à lire les blogs de cette semaine, et peut-être pourriez-vous vous réunir ce weekend pour un thé entre amies afin de parler de ce sujet pour vous aider les unes aux autres? C’est juste une idée.

Psaume 2