L’écriture était parfaite, la lettre paraissait couverte d’or, mes yeux sont devenus bleus… Le sentiment était inexplicable! Ce n’était pas la lettre en soi qui a fait ce moment devenir spécial pour moi, mais la façon dont les choses se sont passées, à cause de ma simple confiance en Dieu. C’est comme si j’avais été récompensée par Lui de l’avoir laissé le contrôle de ma vie.
Immédiatement, je me suis rappelée de mon sacrifice lors de la dernière Campagne d’Israël. J’avais sacrifié une bague, ce n’était pas une simple bague en or, c’était mon unique bague en or. Mon père me l’avait offerte comme cadeau d’anniversaire pour mes 15 ans. Elle signifiait beaucoup pour moi, tellement que c’était tout ce que je possédais pour sacrifier. Je ne travaillais pas, je n’avais pas d’argent, ni rien de grande valeur.
Après l’avoir mise dans l’enveloppe, je me sentais fière de ma foi, comme si je l’avais finalement utilisée depuis toutes ces années. J’ai demandé à Dieu une chose, je voulais me marier avec mon premier petit ami, celui qui venait de Lui (et de personne d’autre).
J’étais la fille de l’Evêque, tout le monde voulait trouver quelqu’un pour moi… À leurs yeux, j’étais disponible. À mes yeux, je ne l’étais pas. Je voulais que Dieu me prépare quelqu’un, parce que je savais qu’Il allait choisir la personne parfaite pour moi. Il connaissait mes objectifs et ainsi, ce ne serait ni plus ni moins que ce que j’attendais!
Quand Renato, de rien, m’a écrit cette lettre d’amour, sans me connaître ni m’avoir jamais parlé, c’est comme si Dieu avait écrit la romance parfaite pour moi. Je n’arrivais pas à arrêter de sourire… et j’ai la sensation que Dieu non plus.
Immédiatement, je me suis rappelée de mon sacrifice lors de la dernière Campagne d’Israël. J’avais sacrifié une bague, ce n’était pas une simple bague en or, c’était mon unique bague en or. Mon père me l’avait offerte comme cadeau d’anniversaire pour mes 15 ans. Elle signifiait beaucoup pour moi, tellement que c’était tout ce que je possédais pour sacrifier. Je ne travaillais pas, je n’avais pas d’argent, ni rien de grande valeur.
Après l’avoir mise dans l’enveloppe, je me sentais fière de ma foi, comme si je l’avais finalement utilisée depuis toutes ces années. J’ai demandé à Dieu une chose, je voulais me marier avec mon premier petit ami, celui qui venait de Lui (et de personne d’autre).
J’étais la fille de l’Evêque, tout le monde voulait trouver quelqu’un pour moi… À leurs yeux, j’étais disponible. À mes yeux, je ne l’étais pas. Je voulais que Dieu me prépare quelqu’un, parce que je savais qu’Il allait choisir la personne parfaite pour moi. Il connaissait mes objectifs et ainsi, ce ne serait ni plus ni moins que ce que j’attendais!
Quand Renato, de rien, m’a écrit cette lettre d’amour, sans me connaître ni m’avoir jamais parlé, c’est comme si Dieu avait écrit la romance parfaite pour moi. Je n’arrivais pas à arrêter de sourire… et j’ai la sensation que Dieu non plus.