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L’école a fait partie da ma vie quotidienne, j’ai dû la supporter tout au long de mon enfance et adolescence. Je ne pouvais pas attendre pour en finir et je suis très contente que mes parents n’ont pas eu beaucoup d’attentes sur moi à ce sujet. L’école c’était bien, elle m’a appris à mieux réfléchir et à régler certains problèmes. Et parce que je craignais Dieu j’étais assez bonne. Je n’étais pas la meilleure, mais j’étais au-dessus de la moyenne.
L’école était pratiquement mon seul contact avec le monde extérieur. J’avais toutes les raisons pour avoir hâte d’aller à l’école mais je n’avais pas.
La plupart du temps je restais chez moi. Soit j’étais à l’église, soit à la maison et parfois une allée à l’épicerie. Pour que vous puissiez mieux comprendre ô combien j’étais renfermée, parfois ma mère me demandait d’aller acheter du lait au magasin de l’autre côté de la rue, si je regardais en arrière et je ne la voyais pas je paniquais. Je la retrouvais 5 à 10 minutes plus tard avec les yeux remplis de larmes.
On pourrait penser que l’école serait l’opportunité pour que je cesse d’être «la petite fille à maman». Mais ce ne fut pas le cas.
Aller à l’école pour moi c’était comme un voyage vers une vie sauvage et dangereuse, que je ne voulais pas avoir. J’étais la fille bizarre pour ma classe, mais pour moi c’était eux les bizarres. Je me sentais bien lorsque j’étais chez moi avec ma famille en train d’apprécier les choses les plus élémentaires de la vie... Je dessinais, je jouais avec ma Barbie, je regardais les dessins animés, je m’amusais dans mon bain, je jouais du piano et je faisais du vélo. Mes journées n’ont jamais été ennuyeuses.
Pour une raison quelconque, les jeunes d’aujourd’hui ont hâte d'être à l’école afin de découvrir le monde par eux mêmes, faire leurs bêtises et perdre leur temps avec des choses qui n’ont jamais rendu personne heureux. S’ils lisent ce message, ils vont penser que je suis une pauvre fille démodée qui ne sait pas ce qui est bon. Tant mieux pour moi. Mon côté pauvre fille démodée a très bien marché pour moi.
Si je pouvais revenir en arrière, je ferais exactement la même chose. Maintenant, demandez aux personnes autour de vous qui ont fait le contraire de ce que j’ai fait si elles referaient le même.
L’école était pratiquement mon seul contact avec le monde extérieur. J’avais toutes les raisons pour avoir hâte d’aller à l’école mais je n’avais pas.
La plupart du temps je restais chez moi. Soit j’étais à l’église, soit à la maison et parfois une allée à l’épicerie. Pour que vous puissiez mieux comprendre ô combien j’étais renfermée, parfois ma mère me demandait d’aller acheter du lait au magasin de l’autre côté de la rue, si je regardais en arrière et je ne la voyais pas je paniquais. Je la retrouvais 5 à 10 minutes plus tard avec les yeux remplis de larmes.
On pourrait penser que l’école serait l’opportunité pour que je cesse d’être «la petite fille à maman». Mais ce ne fut pas le cas.
Aller à l’école pour moi c’était comme un voyage vers une vie sauvage et dangereuse, que je ne voulais pas avoir. J’étais la fille bizarre pour ma classe, mais pour moi c’était eux les bizarres. Je me sentais bien lorsque j’étais chez moi avec ma famille en train d’apprécier les choses les plus élémentaires de la vie... Je dessinais, je jouais avec ma Barbie, je regardais les dessins animés, je m’amusais dans mon bain, je jouais du piano et je faisais du vélo. Mes journées n’ont jamais été ennuyeuses.
Pour une raison quelconque, les jeunes d’aujourd’hui ont hâte d'être à l’école afin de découvrir le monde par eux mêmes, faire leurs bêtises et perdre leur temps avec des choses qui n’ont jamais rendu personne heureux. S’ils lisent ce message, ils vont penser que je suis une pauvre fille démodée qui ne sait pas ce qui est bon. Tant mieux pour moi. Mon côté pauvre fille démodée a très bien marché pour moi.
Si je pouvais revenir en arrière, je ferais exactement la même chose. Maintenant, demandez aux personnes autour de vous qui ont fait le contraire de ce que j’ai fait si elles referaient le même.