Révoltée

Ces jours-ci, nous écoutons beaucoup parler de révolte dans notre église. Si vous n’êtes pas révoltée contre votre problème et que vous ne faites rien pour le résoudre, il ne sera jamais résolu. Malheureusement, plusieurs d’entre nous avons juste de la rage contre les problèmes, mais nous ne faisons rien pour les résoudre, au lieu de cela, nous aimons nous plaindre et appeler l’attention des autres.

Lorsque je regarde quelques femmes de la Bible qui ont reçu un miracle dans leurs vies, je vois la révolte, même si à première vue, cela semblait une erreur.

Sara était fatiguée d’attendre de pouvoir donner un fils à Abraham et au lieu d’accepter cela, elle a pris sa «meilleure» servante (c’est ce qu’elle pensait à l’époque) Hagar, et l’a donnée à Abraham pour qu’il couche avec elle et qu’ils puissent avoir un enfant. Bien sûr, à cette époque, les hommes pouvaient avoir plusieurs femmes, mais Abraham n’était pas comme les autres hommes… Abraham était fidèle à Sara, bien qu’elle soit stérile. Maintenant, je vous demande quel genre de femme, mariée à un homme fidèle, lui donnerai une autre femme pour qu’il couche avec elle?

Une épouse révoltée.

Rébecca avait la certitude que Jacob, son fils cadet (cadet de quelques secondes), était celui que Dieu avait choisi, mais son époux Isaac n’était pas de cet avis et il voulait bénir son fils aîné Esaü qui semblait plus courageux pour devenir le chef de la famille une fois qu’il serait mort. Rébecca s’est aperçue de la grande erreur qui allait se produire et au lieu de harceler Isaac à cause de cela, elle lui a fait croire que Jacob était Esaü, et il a béni le mauvais fils. Quel genre d’épouse aimable ferait cela à son mari qui était sur le point de mourir?

Une épouse et mère révoltée.

Jokébed venait d’avoir un enfant appelé Moïse et elle a entendu que les égyptiens voulaient tuer tous les bébés. Elle a décidé de sauver son fils coûte que coûte, même si elle devait le placer dans un panier et le lancer dans le fleuve. S’il devait mourir, au moins ce ne serait pas par les mains des égyptiens. Que genre de mère ferait cela à son enfant?

Une mère révoltée.

Toutes ces femmes ont pris des attitudes parce qu’elles étaient révoltées, au début cela semblait une terrible erreur. Elles ont souffert d’horribles conséquences. Mais à cause de la foi qu’elles avaient de ne pas accepter leurs problèmes et de faire quelque chose à ce sujet, Dieu les a honorées.

Sara a eu son propre fils, Isaac, même avancée en âge.

Le fils cadet de Rébecca, Jacob, a été celui que Dieu a choisi et oui, il avait besoin de la bénédiction de son père pour devenir Israël.

Le fils de Jokébed, Moïse, a survécu et a grandi pour délivrer les Israélites de l’esclavage de l’Egypte.

L’amour en ruines – La prière

Suite de mercredi dernier

Lizzy a voulu suivre sa grand-mère, mais monsieur Stafford l’a prise dans ses bras… «Viens ma chérie, mamie doit parler avec ta maman…»

«Papa est triste…» dit Lizzy inquiète.

«Oh, ma chérie, tes parents essaient de résoudre les choses. Ne t’inquiète pas, Dieu va faire en sorte que tout se termine bien.»

«Dieu est-Il triste avec nous?»

«Non, pas du tout. Ce n’est pas Dieu le responsable de cela, Il veut nous aider, mais nous devons Lui faire confiance.» Il l’a enlacé. «Prions pour eux, ferme tes yeux et demande à Dieu Son aide.»

Lizzy a commencé à prier, «Dieu aide ma famille… Fais mon papa devenir heureux et ma maman revenir à la maison… au Nom de Jésus, amen.»

«Très bien ma chérie, maintenant tu dois croire en ce que tu as demandé à Dieu, sais-tu comment le faire?»

«Je dois confier?»

«Oui, c’est ça, mais quelle fillette intelligente!»

«Comment puis-je confier, papy?»

«Confier c’est croire que tout va bien se terminer, même si tout semble aller mal.»

«Je crois que je peux le faire!»

«Oui, nous allons le faire à partir de maintenant.» Ils sourirent l’un à l’autre.

Madame Stafford a ouvert soigneusement la porte de la chambre de Lizzy et lorsqu’elle a vu Lynn pleurant à genoux à côté du lit de Lizzy, son coeur s’est brisé. Elle a finalement réussi à voir Lynn de la façon dont Dieu la voyait tout au long de ces années. Pendant qu’elle la considérait une épouse horrible, une belle-fille ingrate, une mauvaise mère et la pire femme au foyer, Dieu comprenait Lynn et la façon dont elle se comportait.

«Lynn» dit-elle.

Lynn l’a regardé et a séché ses larmes en regardant ailleurs. «Excusez-moi madame Stafford, je vais m’en aller tout de suite.»

«Non, ma chérie ne t’en vas pas. Parlons un peu.»

«Je n’ai rien à vous dire en ce moment…»

«D’accord, tu n’as pas besoin de parler… je voulais juste m’excuser…» Ses yeux se sont remplis de larmes et les mots lui manquaient… «Je t’ai tellement jugé pendant toutes ces années, tu ne le méritais pas.» Elle regarda par terre, c’était très dur d’exprimer ce qui était à l’intérieur d’elle. «Depuis que tu es partie, ma famille a été déchirée et bien que j’ai essayé de combler ce qui leur manquait, je n’ai pas été et je crois que je ne serai jamais capable de le faire…»

Lynn l’a regardé dans les yeux et pour la première fois, elle s’est sentie proche de sa belle-mère. «Oh, madame Stafford, je … Je vous ai donné toutes les raisons de me juger. J’ai été une terrible mère et épouse.»

«Non Lynn… Si c’était le cas, ma famille serait plus heureuse avec ton départ… Mais non, ils sont extrêmement malheureux depuis que tu es partie. Une bonne mère et épouse, c’est celle qui est indispensable à sa famille.» Madame Stafford s’est approchée de Lynn, a pris ses mains et l’a levée.

Les deux s’enlacèrent et pleurèrent. Par la première fois dans sa vie, Lynn se sentait proche de quelqu’un et pour son étonnement, ce n’était ni son mari, ni de sa fille, mais d’une personne qu’elle avait méprisé depuis la première rencontre. La mère de Carl a toujours donné une image si parfaite, et elle se sentait si inférieure. Quel bonheur de connaître la vraie madame Stafford et de sentir ses bras autour d’elle, c’était comme si elle avait rencontré sa propre mère.

«Pardonnez-moi, madame Stafford.»

«Oh, ma chérie, je t’en prie, appelle moi maman.»

«Pardonne-moi, maman.»

La suite mercredi prochain.

Bien vieillir


Cellulite, qui en a besoin?

Mais si nous faisons bien attention, qui n’en a pas?

Si vous ne vivez pas dans un SPA, et si vous ne mangez pas juste ce qui n’a pas de goût, vous êtes comme la plupart d’entre nous – vous devez gérer votre vieillissement et ses conséquences. Je me souviens la première fois que j’ai entendu parler de cellulite et d’avoir demandé «Qu’est ce que c’est?». Bien, ces jours là sont terminés. Maintenant je sais exactement ce que c’est!

Ce qui est bon, c’est que notre intérieur ne marche pas de la même façon. Lorsque nous avons un fort engagement avec Dieu, nous devenons meilleures avec l’âge. Notre apparence reflète ce que nous sommes à l’intérieur, comme si notre intérieur éclipsait notre extérieur, faisant en sorte que l’extérieur soit comme l’intérieur. Les personnes ne sont pas attirées par notre allure, mais par ce que nous sommes. Les personnes nous respectent, respectent nos idées et nos pensées.

Certaines femmes ne réussissent pas cela. Elles aiment l’apparence et travaillent sur ce qui se voit et, en faisant cela, les autres feront le même avec elles. Au fur et à mesure qu’elles vieillissent, elles deviennent grincheuses et moins intéressantes, soyons honnêtes, elles semblent vraiment vieilles.

Je choisis de travailler sur ce que personne ne voit, de cette façon, je serai chaque fois meilleure avec l’âge.