Sans dormir à Sao Paulo


Pour celles qui ne le savent pas encore, ma famille et moi sommes retournés dans notre pays d’origine, le Brésil, il y a environ quatre semaines. Depuis, j’essaie de maintenir mes blogs quotidiens, mais comme vous l’avez certainement déjà remarqué, j’ai misérablement échoué. J’attends que les choses reviennent à la normale d’ici à quelques jours, j’ai déjà mis en place mes habitudes pour réorganiser ma routine et je crois que bientôt j’aurai les pieds sur terre.

Beaucoup de choses se sont passées d’un seul coup. Premièrement, la nouvelle du déménagement, en laissant tout en ordre derrière moi et en disant au revoir à tous. Puis, quelques situations familiales que j’ai dû résoudre rapidement et utiliser toute ma foi pour rester en haut. Puis le déménagement, la fatigue et le stress qui l’accompagnent joyeusement. Après cela, sont venues les nouvelles tâches, les nouveaux horaires, l’empressement et beaucoup de responsabilités, qui ne nous ont pas permis de tout faire comme nous aimons. Et finalement, ma petite chienne est morte.

Shane était comme un aimant pour tout le stress que j’apportais à la maison à la fin de la journée. Elle me regardait avec tellement d’anxiété et de tendresse que cela était suffisant pour m’alléger. Je l'enlaçais et je lui donnais plein de bisous, tel un doudou qui ne quitte pas le bébé… Oh, comme elle me manque…

Mais cela ne fait aucun sens de rester à parler de ça. Donc, dimanche dernier, j’ai pris une petite chienne de deux mois, tellement mignonne. Le seul problème, c’est que je n’ai pas pensé aux conséquences de cette nouvelle acquisition pour ma famille… Car en fait, une petite chienne de deux mois se comporte comme un bébé! Et maintenant??? Maintenant, vient l’éternel dressage, lui apprendre où et quand faire ses besoins, les morsures de ses petites dents sur tout ce que nous avons et la saleté de la voir manger son propre… Bon, vous savez de quoi je parle, n’est-ce pas? Et comme si cela n’était pas assez, elle ne dort pas la nuit! Elle crie et pleure très, très fort! Et me voilà me faisant un cadeau qui ne va qu’alourdir mon quotidien… Je ne sais pas pourquoi nous faisons cela. Chaque fois que nous oublions de penser, nous souffrons. Nous avons ce que nous méritons, des conséquences ennuyeuses.

Je suis déjà folle de Mia, bien que je n’aie pas dormi depuis dimanche. Que Dieu m’aide.

Femme facile

Un de ces jours, je me suis couchée très tôt, après une longue journée épuisante, et j’ai fini par me réveiller à l’aube, vers 2h du matin. Je n’ai pas compris. Je suis allée aux toilettes, bien que je n’en avais pas envie. C’est alors que j’ai entendu un oiseau chanter très fort dehors. J’ai regardé ma montre, une fois de plus, pour confirmer s’il était vraiment 2h du matin. Je n’avais jamais entendu un oiseau chanter à cette heure là. J’étais étonnée. J’ai commencé à penser à cet oiseau et pourquoi il chantait à cette heure là…

J’ai toujours entendu dire que les oiseaux chantent pour attirer l’attention des femelles et, sincèrement, je n’ai jamais étudié sur le sujet mais, pour moi, cela a beaucoup de sens. Je trouve cela merveilleux de la part de la nature. Ils chantent, l’un mieux que l’autre, comme s’ils donnaient un concert d’opéra. Ils relèvent leur têtes et donnent leur spectacle – aucun chanteur ne leur ressemble. Juste d’imaginer qu’ils font tout cela, tout cet effort pour attirer l’attention de la femelle, vraiment, ces petits mignons savent les valoriser!

Voici ce qui me dérange depuis quelques années. Il est bien clair que la nature a été créée ainsi, c’est le mâle qui doit attirer l’attention de la femelle, c’est le mâle qui la valorise au point de courir derrière elle jusqu’à ce qu’elle l’accepte. Pourquoi, dans le cas de l’être humain, cela est si différent? Maintenant, les femmes, les jeunes filles, et même les filles, courent derrière les hommes. Et vous savez quoi, l’homme n’a besoin de rien faire – elles tombent à leurs pieds de toute façon. Parfois, le jeune-homme est au chômage, il est infantile et même stupide, mais les filles se jettent à ses pieds.

Le jeune homme se considère le meilleur puisque les femmes sont à ses pieds, et vous savez ce qu’il fait, il les trahit toutes. Aucun homme ne s’engage avec une femme facile, il peut même faire semblant de l’aimer, mais pour devenir son épouse, elle ne sert plus… L’homme, par nature, aime conquérir, et lorsqu’il s’aperçoit qu’il n'a pas besoin de conquérir quelque chose, il part vers une autre.

Je sais qu’il y a des femmes qui ont la foi pour donner le premier pas, mais moi, je ne l’ai pas eue et je crois que si j’étais à leur place, je ne l’aurais pas eue non plus. Mon mari a dû me conquérir. Il a affronté plusieurs situations embarrassantes juste pour faire ma connaissance. J’étais déjà amoureuse de lui, mais il a dû faire sa part. Nous nous fréquentions à la maison et encore… (Mon petit frère était toujours là pour tenir les chandelles)

Sincèrement, lorsque la femme se valorise, elle se garde, elle ne fréquente pas n’importe qui. Elle reconnaît sa valeur et ne laisse personne la toucher si ce n’est son mari, celui qui l’a méritée à travers l’alliance du mariage.

Lèches-bottes jaloux

Il est intéressant de lire au sujet des rituels de certains hommes puissants dans le passé (un passé très lointain). La plupart des fois, ils étaient vénérés comme des dieux. Ils faisaient des statues d’eux-mêmes en or, ils organisaient des fêtes somptueuses où ils montraient leurs richesses, enfin, ils adoraient être adorés. Et tous autour d’eux les servaient comme si leur vies dépendaient d’eux. Plusieurs fois, à cause d’une mauvaise nouvelle qui leur était rapportée, ces hommes puissants faisaient tuer les messagers, comme si les pauvres hommes étaient coupables de cela. C’était quelque chose de démesuré, leur pouvoir leur montait à la tête et leur conscience était mise à la poubelle. Aujourd’hui, cela arrive également, mais un peu déguisé…

Le roi Nabuchodonosor fut l’un de ces homes. La Bible dit qu’il a fait…
« …une statue d'or, haute de soixante coudées et large de six coudées. Il la dressa dans la vallée de Dura, dans la province de Babylone. Le roi Nebucadnetsar fit convoquer les satrapes, les intendants et les gouverneurs, les grands juges, les trésoriers, les jurisconsultes, les juges, et tous les magistrats des provinces, pour qu'ils se rendissent à la dédicace de la statue qu'avait élevée le roi Nebucadnetsar… Un héraut cria à haute voix : Voici ce qu'on vous ordonne, peuples, nations, hommes de toutes langues! Au moment où vous entendrez le son de la trompette, du chalumeau, de la guitare, de la sambuque, du psaltérion, de la cornemuse, et de toutes sortes d'instruments de musique, vous vous prosternerez et vous adorerez la statue d'or qu'a élevée le roi Nebucadnetsar. Quiconque ne se prosternera pas et n'adorera pas sera jeté à l'instant même au milieu d'une fournaise ardente. »
Vous imaginez, celui qui ne s’agenouillait pas devant cet homme serait tué! Personne n’a osé, ni questionner, ni se plaindre, tout le monde a obéi, à l’exception de trois hommes. Et cela a attiré l’attention de certaines personnes, qui au lieu de garder le silence et de les laisser en paix, ont voulu tout raconter. Cela est très commun parmi les personnes qui ne pensent pas – elles aiment regarder la vie des autres et les pointer du doigt, elles aiment se comparer avec elles, et ne sont jamais satisfaites de ce que ces personnes font, comme si elles avaient une dette envers elles. Comme ma sœur le dit, elles sont pauvres d’esprit.

Regardez seulement ces lèches-bottes (chose habituel chez les pauvres d’esprit)…
«A cette occasion, et dans le même temps, quelques Chaldéens s'approchèrent et accusèrent les Juifs. Ils prirent la parole et dirent au roi Nebucadnetsar : O roi, vis éternellement ! Tu as donné un ordre d'après lequel tous ceux qui entendraient le son de la trompette, du chalumeau, de la guitare, de la sambuque, du psaltérion, de la cornemuse, et de toutes sortes d'instruments, devraient se prosterner et adorer la statue d'or, et d'après lequel quiconque ne se prosternerait pas et n'adorerait pas serait jeté au milieu d'une fournaise ardente. Or, il y a des Juifs à qui tu as remis l'intendance de la province de Babylone, Schadrac, Méschac et Abed Nego, hommes qui ne tiennent aucun compte de toi, ô roi ; ils ne servent pas tes dieux, et ils n'adorent point la statue d'or que tu as élevée. »
Regardez l’esprit qui était derrière leur accusation. En fait, ils étaient jaloux de la position que le roi avait accordée à ces trois hommes! Je vais vous dire une chose: parfois, dans un simple commentaire, nous pouvons nous apercevoir de la jalousie des autres…
« Alors Nebucadnetsar, irrité et furieux, donna l'ordre qu'on amenât Schadrac, Méschac et Abed Nego. Et ces hommes furent amenés devant le roi. Nebucadnetsar prit la parole et leur dit : Est-ce de propos délibéré, Schadrac, Méschac et Abed Nego, que vous ne servez pas mes dieux, et que vous n'adorez pas la statue d'or que j'ai élevée ? Maintenant tenez-vous prêts, et au moment où vous entendrez le son de la trompette, du chalumeau, de la guitare, de la sambuque, du psaltérion, de la cornemuse, et de toutes sortes d'instruments, vous vous prosternerez et vous adorerez la statue que j'ai faite ; si vous ne l'adorez pas, vous serez jetés à l'instant même au milieu d'une fournaise ardente. Et quel est le dieu qui vous délivrera de ma main ? »
Nabuchodonosor, dans toute sa colère et fureur, n’a pas voulu penser, ni comprendre, ni considérer le cas. Voyez ce que l’émotion mène la personne à faire. Lui même avait choisi ces hommes, certainement qu’ils l’avaient déjà beaucoup aidé, ils étaient des personnes respectables et de confiance, l’une des choses les plus difficiles à trouver… Mais la colère lui a fait tout oublier…
« Schadrac, Méschac et Abed Nego répliquèrent au roi Nebucadnetsar : Nous n'avons pas besoin de te répondre là-dessus. Voici, notre Dieu que nous servons peut nous délivrer de la fournaise ardente, et il nous délivrera de ta main, ô roi. Simon, sache, ô roi, que nous ne servirons pas tes dieux, et que nous n'adorerons pas la statue d'or que tu as élevée. »

Dit et fait, mais quels hommes! Voici ce qu’est un homme de Dieu! Voilà les filles, vous qui cherchez un homme de Dieu, la foi de ces hommes ne pouvait être ébranlée par rien, ni par la mort! Certainement qu’ils avaient une famille et que leur mort allait porter préjudice à ceux qui dépendaient d’eux, mais leur foi en Dieu était plus importante que leur famille. Ils savaient que Dieu pouvait les délivrer, mais ils étaient même préparés au cas où cela n’était pas de Sa volonté. Regardez quelle foi! Ce genre de foi et de plus en plus difficile à trouver, car tout le monde présente ses conditions à Dieu. S’Il me donne ceci, je Lui donnerai cela, cela doit arriver cette année sinon… Je ne parlerai plus de Dieu tant que cela n’arrive pas dans ma vie… Et la liste est longue.

La fin de l’histoire, vous devez certainement la connaitre, sinon lisez dans la Bible le chapitre 3 du livre de Daniel – pour votre bien. Dieu a honoré ces hommes à cause de leur foi, au-delà d’avoir été honorés et d’être devenus encore plus prospères, leur histoire est restée dans la Parole de Dieu afin que tous fassent de même.

Pendant que vous êtes jalouse des autres, vous cessez d’investir en vous-même. Ils priaient jour et nuit, ils étaient fermes et toute chose car avec ce genre de foi, il n’y a pas la place pour la peur, ni pour les doutes!

Avez-vous ce genre de foi? Coûte que coûte, même si c’est votre vie, sans parler du petit ami, de votre couple, famille, prospérité, réputation et autres choses?

Comment couper les mauvaises racines

Vous avez identifié la racine de votre problème. Très bien. Maintenant, comment faire pour la couper? C’est la question que beaucoup se posent.

Par définition, couper est un acte agressif. Même une petite coupe sur une surface lisse et nette causera toujours des dommages. Couper signifie que quelque chose de pointu sera en contact avec une autre et fera une ouverture, une incision ou une blessure. En d’autres termes, une intrusion, une force qui modifie l’état original des choses. Dans le cas des êtres vivants, cela peut même les tuer.

Couper une racine est donc un acte de force de votre volonté. Vous ne pouvez pas souhaiter garder une mauvaise racine. Vous devez être impitoyable, agressif et déterminé à la couper. Quelle hache pouvez-vous utiliser pour cela? C’est souvent ce qui fait le plus mal à la racine.

L’humilité est la hache pour couper l’orgueil.
La générosité est la hache pour couper l’avarice.
La maîtrise de soi est la hache pour couper la colère, la gloutonnerie et les vices.
La diligence est la hache pour couper la paresse.
La bonté est la hache pour couper l’égoïsme.
Le courage est la hache pour couper la peur.
La sincérité est la hache pour couper l’hypocrisie.
Un pacte avec Dieu est la hache pour couper les malédictions et les esprits malins.

Avez-vous saisi?

Pour couper une racine, vous devez frapper là ou ça fait mal, avec ce qui fait le plus mal et répéter le processus jusqu’à ce qu’elle disparaisse.

C’est douloureux. C’est un travail dur. Certainement pas facile.

Mais efficace!

Evêque Renato Cardoso

Arrêtez de prêcher

Hier, nous avons écrit au sujet d’une jeune femme qui voulait tout recommencer, mais qui ne voulait pas abandonner les choses qui l’empêchaient de le faire. Aujourd’hui, nous allons écrire au sujet de l’homme qui aime enseigner aux autres mais qui ne pratique pas lui même.

Avez-vous déjà rencontré quelqu’un comme ça? Moi oui, plusieurs fois. Hier, je pensais à un cas qui était très éloquent à parler mais, en même temps, faisait l’opposé de ce qu’il disait croire. Lorsqu’il parlait, il transmettait assurance et il aidait beaucoup de personnes. Mais, après tellement de prédications et d’enseignements, il avait toujours ces commentaires un peu déplacés et certaines attitudes qui me faisaient penser si ses leçons ne s’appliquaient pas à lui même.

Comment cela peut-il arriver? Comment quelqu’un peut-il enseigner si bien et ne rien pratiquer de ce qu’il prêche? Comment pouvez-vous prêcher au sujet de quelque chose auquel vous ne croyez pas assez pour le mettre en pratique?

J’ai déjà remarqué qu’il y a deux sortes de prédicateurs. Celui qui vit ce qu’il prêche et celui qui prêche pour lui même. Malheureusement, un nombre effrayant d’entre eux appartient à la deuxième catégorie, ce n’est pas parce qu’ils veulent être hypocrites – mais parce que la prédication leur donne un sentiment de justice, et pour une raison quelconque, ils se sentent bien ne pratiquant pas ce qu’ils prêchent, puisqu’ils peuvent toujours enseigner.

Evidemment, cela devient un coup très dur, l’un des pires. Parce que ce coup n’est pas contre le gouvernement, ni contre n’importe quelle personne, mais contre soi-même! Et ce système continue jusqu’au jour où il va si loin qu’il n’arrivera plus jamais à apprendre, à vivre dans la vérité et ne va jamais conquérir une meilleure façon de vivre.

Voici une autre mauvaise racine que nous trouvons dans ce monde. Si vous êtes en train d’enseigner des choses que vous avez encore besoin de pratiquer, arrêtez d’enseigner jusqu’à ce que vous pratiquiez ce que vous voulez enseigner – jugez-vous vous même au moins une fois.

Tout recommencer

«Je veux tout recommencer», a dit une jeune femme. Elle haïssait la personne qu’elle était devenue, exactement l’opposé de ce qu’elle avait rêvé. Elle s’est laissée aller par ses passions et par le vice de tomber amoureuse, bien que ce soit à peine pour quelques minutes, et ainsi elle est tombée entre les mains de tout genre de mauvaises relations. Elle se disait que c’était elle qui était en train de profiter de tout cela, mais au fond, elle était seule. La vie la piétinait.

Elle a dit qu’elle voulait tout recommencer, mais elle tombait toujours dans les mêmes erreurs. Elle se sentait attirée par ses amis et par les mauvaises relations et, par conséquent, “l’amusement” que cela lui offrait. La musique l’aidait à tout oublier, remplissant chaque minute de sa journée avec un peu d’émotion et de distraction. De cette façon, elle n’avait pas besoin de penser à sa vie. Mais il y avait toujours ces moments où elle se sentait seule. Elle voulait une autre vie.

«Qu’est-ce qui ne va pas avec elle?» Les personnes se demandent tout le temps. Elles n’arrivent pas à la comprendre. Elles croient que c’est juste une question d’arrêter de faire des erreurs, mais est-ce aussi simple?

Jésus ne pensait pas de cette façon. Lisez ce qu’Il a dit:
«Si ton œil droit est pour toi une occasion de chute, arrache-le et jette-le loin de toi; car il est avantageux pour toi qu'un seul de tes membres périsse, et que ton corps entier ne soit pas jeté dans la géhenne.» Mathieu 5,29
Selon Lui, avant d’arrêter de faire des erreurs, il faut les éviter. Certainement que vous n’allez pas arracher votre œil loin de vous, mais vous pouvez très bien vous débarrasser de toutes vos mauvaises fréquentations, annuler votre compte sur Facebook, changer votre numéro de téléphone, vous débarrasser de votre MP3 et jeter tout ce qui vous attache à cette vie que vous dites haïr.

La question est: voulez-vous réellement tout recommencer? Si vous n’êtes pas disposée à faire ce qui a été mentionné ci-dessus, vous savez déjà quelle est la vraie réponse à cette question.

The Love School


Lorsque nous avons reçu ce défi la semaine dernière, j’ai tout de suite ressenti ce fourmillement dans le ventre… «Mon Dieu, qu’est-ce qui va m’arriver en participant quotidiennement à une programmation en direct sur IURDTV? Lorsque je présentais le programme «Choses de Femmes» il y a quelques années, c’était déjà compliqué et ce n’était qu’une fois par semaine, imaginez maintenant???» Donc, comme d’habitude, je me suis désespérée. Bien sûr, extérieurement, j’étais souriante et je semblais forte, mais à l’intérieur… Ah, à l’intérieur, j’étais déjà en train de mettre de côté tous mes plans d’écrire un nouveau livre, les blogs quotidiens et toutes les autres activités que j’ai actuellement dans l’Œuvre de Dieu.

Mais je vais vous confier un petit secret, ne le dites à personne, d’accord? Chaque fois que je me désespère, je combats tout de suite mon cœur. Au fil des années, j’ai découvert qu’il n’est pas du tout bon avec nous. Il nous mène toujours à penser au pire, il nous décourage, il nous rend triste, il nous apporte la peur et l’insécurité et en plus, après, il nous fait nous sentir mal pour avoir succombé à sa voix. Savez-vous une chose, j’en ai eu assez!

Alors, au même instant où ce désespoir est venu, je l’ai chassé. Si Dieu nous fait confiance au point de nous choisir pour une telle responsabilité, qui suis-je ou qui sont les autres pour Le contrarier? Arrière de moi, cœur! Et savez-vous une chose? Cela a parfaitement marché, comme toujours.

Les opportunités viennent et c’est à nous de les accepter. Si nous écoutons notre cœur, nous allons perdre les opportunités sans avoir même essayé. Soyons sages, profitons de tout ce qui nous est confié, quoi que ce soit. Les nouvelles amitiés que nous pouvons faire quotidiennement et qui ne seront pas vaines. Un sourire lorsque vous passez devant quelqu’un, afin de montrer à tous que même si vous avez un agenda super rempli, vous avez toujours le temps pour être de Dieu. Les défis qui semblent être au delà de nos forces mais qui ont le but de nous pousser vers des conquêtes plus grandes. Enfin…

Je vous invite à participer de notre programme de TV (en portugais), «The love School» - «L’école de l’amour» en direct du lundi au vendredi, à 15h (horaire de Sao Paulo – Brésil) sur IURDTV.com… Hier et aujourd’hui, mon mari et moi avons dansé les deux chansons les plus votées, devant les caméras, nous avons parlé du jour où mon mari m’a poussée hors du bureau et de l’évêque qui a lancé une assiette de haricots au plafond. Demain… Bon… Vous devez assister.