Jeûne des 21 Jours - Solitaire

«Il aurait bien voulu se rassasier des carouges que mangeaient les pourceaux, mais personne ne lui en donnait.» Luc 15:16
Pour une raison quelconque, je me suis réveillée ce matin avec cette parabole dans la tête. C’est la parabole du fils perdu. Ce jeune homme avait grandi dans une excellente famille, qui lui avait tout donné, mais pour beaucoup cela n’est pas suffisant. Plusieurs fois, les personnes pensent que seuls ceux qui ont grandi dans une famille détruite deviennent rebelles et se détruisent eux-mêmes, peu savent que l’opposé arrive également, comme le cas de ce jeune. Nous pouvons conclure qu’il ne s’agit pas de la famille que vous avez, mais de celui que vous décidez de devenir.

Un jour, ce jeune a décidé de ne plus attendre la mort de son père pour hériter de ses richesses. Il lui a demandé son héritage et a quitté la maison. D’un coup, il avait plein d’argent et il s’est fait beaucoup d’amis, d’un coup, il est devenu le jeune le plus populaire de la ville.

Mais de la même façon qu’il a gagné pas mal de choses, il en a perdu pas mal d’autres également. Cela arrive normalement lorsque les personnes décident d’avoir ce qu’elles ne sont pas prêtes à recevoir. Une jeune fille veut tellement avoir un petit-ami que le premier qui s’intéresse à elle, elle assume un compromis. Puis, vite, elle tombe enceinte et se marie avec lui. Le jeune-homme n’a pas d’emploi mais ne s’inquiète pas. Peu de temps après, elle commence à se sentir frustrée avec sa vie. Elle le culpabilise de ne pas pouvoir continuer ses études. Et il la culpabilise d’être tombée enceinte.

Ils ont gagné pas mal de choses, mais en ont perdu pas mal également. Il y a un temps pour tout, mais si vous n’obéissez pas à cette règle, vous allez apprendre de la façon la plus dure.

Le fils prodigue a perdu tout ce qu’il avait reçu de son père, dont l’estime de soi. Il a commencé à travailler pour les autres comme un esclave, juste pour survivre. «Personne ne lui donnait rien.» Le verset ci-dessus le dit. Voici la phrase la plus populaire de l’être humain!

Personne ne me donne rien. Personne ne s’inquiète avec moi. Personne ne m’aide. Personne ne pense à moi.

C’est vrai?

Et si vous pensiez plutôt à toutes les mauvaises décisions que vous avez prises et leurs conséquences dans votre vie, maintenant est-ce la faute des autres?

Ah, je vous en prie!

Ce jeune homme a vécu dans ce cercle inutile d’avoir pitié de soi-même pour un moment, il se nourrissait avec les cochons, il pleurait, il se plaignait de sa vie misérable. Rien n’a changé pour lui, jour après jour, il a vécu tel un idiot. Oui, c’est ça. Pendant qu’il pleurait, il se sentait seul et culpabilisait les autres de ses échecs – rien n’a changé.

Heureusement, un jour, il a utilisé son cerveau et il a réfléchi. La Bible est merveilleusement claire là-dessus:

“Etant rentré en lui-même, il se dit: Combien de mercenaires chez mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim!” Luc 15:17
Ce jeune n’a fait quelque chose pour s’en sortir que lorsque il est «rentré en lui-même», en d’autres mots – lorsqu’il a pensé. Après être retourné chez son père, il a réussi a changer son avenir, indépendamment de son passé.

Ah, si seulement les personnes pensaient plusieurs fois…

Tâche d’aujourd’hui:

Arrêtez de vous plaindre, arrêtez de nourrir ce sentiment de pitié de vous-même et arrêtez de raconter à tout le monde ce qui se passe avec vous. Pensez et faites quelque chose pour changer votre vie.

3 commentaires:

  1. Et, c'est vraiment cela nous devons arrêter de nous plaindre ce qui est passé est passé nous ne pouvons y revenir sinon beaucoup de chose aurait pu être évité. Cependant, soyons sincère pensant en Dieu et lui demandé de prendre le contrôle de notre vie car avec lui; la victoire est plus qu'assurer !!

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  2. souvent quand on regarde les conséquences négatives on se demande comment cela a pu arrivé alors qu'on a tout bien fait on se rend pas compte de suite qu'on est parti du mauvais pied mais une fois qu'on réfléchit on voit l'erreur. A nous de veiller.

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  3. J'ai toujours était le contraire. C'est a dire quand j'ai un problème je garde tout pour moi. Je vais en parler a personne je me suis toujours dit je ne pas besoin de la pitié des autres. Cela ma rendu forte aujourd'hui. Donc parfois quand je vois des jeunes se lamentent sur leur problème sa m'énerve car je me dis : On a tous des problèmes, sa sert a rien de pleuré si tu ne cherche pas a trouver la solution pour résoudre c problème.

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